Steffen Rault

Depuis 20 ans le trafic aérien s’est densifié très largement. Le ciel est quadrillée par ces liaisons qui s’intensifient de jour en jour, et nous avons l’habitude de voir les traînés blanches que laissent sur leur passage les avions.
D’un point de vue scientifique, deux hypothèses sont possibles quand à ces traces émises par les avions, contrails ou chemtrails, et toutes deux soulèvent des problèmes liés à l’environnement.
Les contrails (pour condensation trail), également appelées traînes de vapeur sont créés par la condensation de la vapeur d’eau émise par les moteurs d’avion à haute altitude.
Ce phénomène de traînées célestes, qui est en forte augmentation (elle serait passée de 3ù environ à 5ù en quelques années), est jugé préoccuppant par sa contribution à l’effet de serre (sans être prise en compte par le traité de Kyoto.)
Ces traînées de condensation pourraient avoir un impact visible sur le climat en réduisant l’apport solaire diurne ainsi que des déperditions de chaleur nocturne.
Les chemtrails, qui ressemblent aux contrails (tous deux des traînés blanches laissées dans le ciel par les avions) seraient quand à eux des lâchés de produits chimiques, encore appelé aérosol, auxquels ont pourraient attribués des objectifs présumés.
Parmi ces objectifs, on retrouve celui de la modification du climat à divers fins :
- contrôle de l’économie agricole d’un pays en modifiants les précipitations, orages, canicules ;
-brouillage des communications et perturbations atmosphériques en temps de guerre;
- diminution de l’intensité lumineuse : les chemtrails seraient un moyen de créer une sorte de bouclier chimique qui filtrerait une partie de s rayons du soleil et permettrait ainsi de diminuer l’indice UV;
- contrôle de la population : les chemtrails pourraient être un moyen global plutôt discret d’épandage de virus et de bactéries.
On sait que le contrôle du climat est un des objectifs de recherche militaire de l’US Air Force depuis de nombreuses années, cf. notamment le rapport US Air Force 2025, mais les organismes des gouvernements ont à maintes reprises nié l’existence de ces chemtrails.